Car la vie n'a aucun but...

J'avance sans but, d'ailleurs, est-ce-que la vie à un but ? Je l'ignore... Enchanté mon nom est Chrona, j'ai 14 ans et j'ai les cheveux roses. Mes yeux sont bleus marines voir noirs et je suis une folle. Enfin, c'est ce que pense les autres car au fond, ne sommes nous pas tous fou ? Je n'ai aucun ami, de toute façon à quoi ça me servirais ? Je souris très rarement, je suis arogante et pourtant vous continuez à lire. Ma vie n'a rien de special, elle est toute bête comme moi et pourtant vous voulez en savoir plus. Les humains m'intrigue, leurs âmes sont si pures et leurs coeurs si remplient de bonheur. Mais j'ai quelque peut changé, j'aime écrire des poémes et la musique. Je déteste la couleur rose et pourtant je la supporte tout les jours, je suis nul en ortographe donc ne m'en voulais pas. Ce texte est inutil et pourtant vous venez de prendre cinq minutes de votre belle vie à le lire, juste pour m'écoutais vous racontez ma vie si bizarre pas si normal que ça...
Je m'appelle Chrona et je suis différente !

Ça y est, je passe en quatrième cette année. Je commençais à en avoir marre des cours barbans, la quatrième est plus compliqué ça rique d'être mieux. Je suis devant la grille de mon collège, son nom n'a aucune importance. Je m'avance vers le tableau pour savoir, non avec qui je suis mais quel numéro se poste apres le 4 de quatrième. Je suis en 4ème6... Ce chiffre est cool, le 46... Ce numéro porte malchance non ? Bref, ma salle principale est la salle 306, troisième étage sixième porte. Ce chiffre aussi porte malchance, je rentre dans l'établissement. Moderne, gran, trois étages pour être présise. Je prend l'escalier de gauche, celui de droite est trop éclairé et tout le monde passe par celui-ci. Celui du milieu est réservé aux professeurs et celui de gauche est sombre et désert, je peux même sentir des présences étrangent. Je monte, arriver au troisième étage je suis soumise à traverser le couloir : 321, 320, 319, 318, 317, 316, 315, 314, 313, 312, 311, 310, 309, 308, 307, 306... Je m'arrête devant ma futur salle principale, je suis la première arrivée. Évident puisque tout les autres doivent être en train de discuter avec leurs amis. Je pose mon sac contre le mur, l'ouvre et en ressort un livre, un manga pour être plus précise. Je m'assoie lourdement sur mon sac et entamme ma lecture.
- Wouah en fait c'est super cool !
- Hn... Tu parles...
Répond-je à la voix qui proviens de derrière moi.
- Rohh ! Aller quoi, sourit c'est la rentrée !
- Tu peux dire ça toi, tu n'existes même pas.
Je n'ai même pas à soulevé mon regard de mon livre, pour deviner à qui je parle.
- Bien sûr que si j'éxiste ! Enfin... qu'à moitier.
- Les morts sont morts point final.
J'en ai marre de cette discution, j'ai dû mal à lire avec la pipelette à côté de moi. Elle ne serais pas morte je l'a tuerais moi même.
- Bon laisse moi tranquille maintenant.
- Tu devrais être honorée que je t'accompagne soeurette.
- Hn...
- Bon j'ai compris, j'y vais. A plus.
Et je vois ma soeur qui commence à disparaitre, de toute façon le soleil commence à se lever et même si en l'hiver elle peut rester plus longtemps, son temps reste limité.

A quoi servirer de m'inscrire, pour que quelques temps après tout sois désert ?


Toujours dans ma lecture, je commence à entendre les bruits des chuchotements signent que les collégiens commencent à monter. Je ne connais pas mon professeur principal, comme aucun autre élève d'ailleurs. Me fichant complétement des chuchotements je continue à lire ma BD japonaise. Le japon est l'un des rares pays au quel je m'intéresse, c'est un beau pay malgrès la densité élevé de celui-ci. Quand j'entend la sonnerie, je range mon livre dans mon sac et le referme. Je me redresse afin de pouvoir être présentable le premier jour, je ne veux surtout pas être le souffre-douleurs de cette classe. Et voilà maintenant cinq minutes que nous attendons le prof, je vais commencer à croire qu'il n'est pas là !
- Excusez-moi du retard !
Et à mon plus grand désespoir, les cheveux blonds du prof se font voirs. Le seul prof que je ne voulais pas avoir, Chubuzu-sensai ! Ce professeur ne connaissant pas le système de la montre et lisant des romans très peu catolique se poste maintenant devant moi. Il sourit bêtement comme à son habitude et ouvre la porte de la salle. C'est une salle basique avec trois rangé, je vois les premiers de la classe se battrent pour la place devant le bureau d'autres se battrent pour qui vas se mettre avec qui. Sans poser de question à personne, je m'assoie à la dernière table à la place près de la fenêtre. Les places étant enfin définis, le professeur commença ses explications barbante. je sens la fatigue grimper, je pose ma tête sur le vitre froide et ferme les yeux. C'est temps-ci je fatigue très vite, ma soeur vient me voir moins souvent avec l'excuse qu'elle a dû mal à passer entre le portail du monde humain et des morts. Et en fait c'est maintenant que je remarque que, plus ma soeur est loin de moi plus mes vision s'intensifie.
Je vous l'avais dit, je ne suis pas normal...